Ne soyez pas victime une seconde fois : choisissez le bon avocat

De son expertise peut dépendre votre reconstruction face au traumatisme que vous avez subi.

Il est regrettable de constater que bien souvent, l’urgence de l’accident a cette conséquence du choix bien trop rapide de votre avocat. Beaucoup se disent spécialisés dans cette matière spécifique sans réellement disposer des connaissances et de l’expérience nécessaires. Ne tombez pas dans ce piège et choisissez rigoureusement celui qui pourra vous défendre au mieux.

Pourquoi choisir un avocat très spécialisé ?

Il est essentiel de comprendre qu’un échange que vous pourriez avoir avec un avocat ne vous engage aucunement. Toutefois, a travers celui-ci, vous pourrez obtenir un certain nombre d’éléments vous permettant appréhender au mieux la suite de la procédure d'indemnisation des préjudices que vous avez subis.

Bien souvent, en cas d'accident grave, les professionnels de secours (le SAMU et les pompiers) sont requis sur les lieux. Les pompiers peuvent notamment donner des informations à votre avocat sur les circonstances de l’événement et votre état après le choc.

L’intérêt de saisir l’avocat très spécialisé dès la survenance de l’accident est essentiel à plusieurs égards :

• Il se déplacera sur les lieux pour constater et relever toutes de nombreuses preuves matérielles, telles que les traces de pneus, les traces de chocs, recueillir des témoignages, qui joueront un rôle important dans la constitution de votre défense. De même, à l'entrée à l'hôpital, un bulletin d'entrée sera donné, lequel doit être gardé.
• Ce dernier, très spécialisé, travaille, également, en étroite collaboration avec son médecin conseil qui sera destinataire de toutes les pièces médicales (radio, scanners) dès le début de l'accident et seront à votre chevet afin de faire le point tant sur votre état médical, que sur l’expertise, laquelle est fondamentale et doit être menée dès le début du dossier.
• L'avocat contactera votre assurance, dans l'attente des procès-verbaux fournis par la police.
• Egalement, il peut évaluer la gravité plus ou moins importante de l’accident et requerra, soit, une expertise amiable avec l’assureur et le médecin de la compagnie d’assurance adverse, soit, une expertise judiciaire par l’intermédiaire de laquelle un expert du tribunal est saisi aux fins de vous examiner et vous faire verser des provisions. 

En outre, son expérience et ses compétences en font un allié essentiel face à une procédure très technique, mais également un appui fondamental auprès duquel vous pourrez être reconnu dans votre statut de victime et espérer une reconstruction.

Comment reconnaitre un avocat spécialisé ?

Dans la jungle qu’est devenu le métier d’avocat, nombreux sont ceux qui se disent à tort spécialisés : en effet, Internet ne vérifiant pas les avis ni les compétences des professionnels du droit, il est essentiel de savoir reconnaitre un conseil très spécialisé dans l’indemnisation des victimes.

L’expérience : un indicateur de compétence de votre avocat

Le choix d’un expert en droit de l’indemnisation des victimes d’accidents n’est pas chose facile. Toutefois, son expérience dans le domaine est un indicateur qu’il ne faut négliger.

En effet, tout avocat expert dans cette matière si spécifique doit disposer d'une grande expérience tant en termes d’années qu’en terme de dossiers traités.

Choisir un avocat très spécialisé et expérimenté vous permettra notamment d’obtenir des conseils avisés et éclairés ainsi que l’assurance d’une représentation efficace afin que vous puissiez obtenir la meilleure indemnisation possible de vos préjudices.

De plus, grâce à ses anciens dossiers similaires, l’avocat très spécialisé maitrise la procédure devant les différentes structures d'indemnisation (ONIAM, CIVI, FGAO, tribunal judiciaire, tribunal administratif etc.) mais également devant les assurances et oriente au mieux sa plaidoirie afin de vous obtenir la meilleure indemnisation possible.

Son domaine de connaissance doit être solide

Avant de vous lancer et d’engager un cabinet d’avocats spécialisé en indemnisation des victimes d’accident il est essentiel de se renseigner sur le parcours professionnel, les diplômes mais également les compétences des collaborateurs qui le compose.

Tout avocat est censé être titulaire au minimum d’un bac+4 en droit, lui ouvrant l'accès à une formation lui permettant d’obtenir un certificat d’aptitude à la profession. Il y a toutefois une différence entre l’avocat généraliste, l'avocat spécialisé et l’avocat très spécialisé.

L’indemnisation des préjudices corporels est une matière du droit très spécifique et complexe, qui nécessite une rigueur et une technique que peu d’avocats peuvent aujourd’hui revendiquer. En matière de traumatismes crâniens, il est essentiel que l'avocat ait suivi une formation spéciale dans ce domaine qui se concrétise par l’obtention d’un diplôme universitaire, les séquelles de ce traumatisme étant très particulières.

Autant de compétences techniques et nécessaires que peu d'avocats peuvent revendiquer afin de déjouer les nombreux pièges et obstacles à votre indemnisation. 

Notre cabinet : le choix de l'excellence et du résultat

Les honoraires de résultat attirent les requins de la profession qui se disent spécialistes. Ne vous soyez pas une seconde fois victime !  

Au sein de notre cabinet, Maître BERNARD PUECH est titulaire d’un diplôme universitaire en évaluation des traumatismes crânio-cérébraux. Egalement, nous justifions, d'une expérience de 43 ans dans l'indemnisation du préjudice corporel des victimes. 

Notre spécialisation en victimologie, en réparation du préjudice et entre autre les traumatismes crânien, est un atout considérable que nous mettons à votre service.

Nous travaillons avec les meilleurs médecins experts vous assurant un soutient mais également un intermédiaire essentiel dans vos démarches et la défense de vos intérêts.

Faire le choix de notre cabinet c’est avant tout faire le choix d’une expérience et d’une rigueur que nous mettons à votre disposition afin d’obtenir la meilleure indemnisation de vos préjudices.